Rose Cup 2008

Florent Lazzerini

il y a 17 ans

Lieu : Peacecroft, Stratford-upon-Avon
Score : 44 – 08
Date : 10/05/2008

Dirigeants . Hospital Jean - Laurent Laguerre - Daniel Sampermans Avants. Busson Lionel - Riboulet Jerome - Battoue Hugo - Lazzerini Florent - Boutalbi Laurent - Hospital Jerome - Connolly Ian - Baranger Denis - Barbe Vincent - D'Azemar Thibault - Gambarte Javier - Gestin Tanguy - Badia-Berger Theodore - Philip Watson (alias Paddy le joker...) Arrieres. Schwartz Thomas (Cap.) - Tissot Quentin - Robin Jacques - Legarnec Pierre - Lepape - Passe Jean-Baptiste - Foucard Jean-Francois - Andrieux Raphael - Pomié Guillaume

Derrière : Baranger Denis – Philip Watson (alias Paddy le joker…) – Barbe Vincent – Gestin Tanguy – Badia-Berger Theodore – Boutalbi Laurent – Hospital Jerome – Busson Lionel -Battoue Hugo – D’Azemar Thibault – Lazzerini Florent – Gambarte Javier – Connolly Ian
Devant : Riboulet Jerome – Robin Jacques – Lepape Arnaud – Andrieux Raphael – Passe Jean-Baptiste – Tissot Quentin – Legarnec Pierre – Pomié Guillaume – Foucard Jean-Francois – Schwartz Thomas
Hors photo, dirigeants : Hospital Jean – Laurent Laguerre – Daniel Sampermans

Résumé

Le SCUF s’est déplacé avec un groupe très hétérogène composé de juniors, de nombreux jeunes seniors et quelques anciens grognards. Nous offrons une bonne résistance en première mi-temps. (10-05) Avec très peu de ballons, nous restons au contact de Stratford. Pierre Legarnec rentre dans l’histoire de la Rose Cup en devenant le premier joueur à recevoir un carton lors de le 3ème minute du match ! 10 minutes à 14 contre 15…

Pas de commentaires sur l’arbitrage. .. Tout le monde connaît le contexte…

En seconde période, on manque de ballons. Le dernier quart d’heure est terrible pour le SCUF qui s’essouffle et craque littéralement sur la fin de match. Cela engendre 28 points pour Stratford en 15 minute. Personne n’a démérité. De Denis Baranger (41 ans) aux Minots de 18 ans, personne n’a triché. C’est dur car le score ne reflète pas la défaite honorable à laquelle on pouvait prétendre.

La bonne nouvelle, c’est que la « French Touch » s’exporte toujours aussi bien auprès de ces demoiselles de Stratford. Et pour une fois nous avons pu tester la piscine de Tony Bird.

Résumé

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