Pascal Poletti est originaire de Haute Corse, d’un petit village nomm\u00e9 Olmi Cappella. Son p\u00e8re \u00e9tant militaire, il n\u00e9, apr\u00e8s guerre, \u00e0 Marseille le 04\/04\/1946. Il quitte l’\u00eele de beaut\u00e9 avec ses parents \u00e0 l’\u00e2ge de trois ans et rejoint la r\u00e9gion parisienne, mais garde toujours des attaches familiales en Balagne et sur Bastia \n<\/strong><\/p>\n
Pascal Poletti \u00e0 gauche et Roland Roques \u00e0 droite en 1988 on reconna\u00eet les jeunes Roch Poletti, Antoine Bouteilly, Patrick Gigon, Fran\u00e7ois Derome, Nicolas Valenzuela…<\/p><\/div>\n
– Comment as tu d\u00e9couvert le rugby ? Quel est ton parcours rugbystique de joueur et de dirigeant ?<\/h4>\n
Je d\u00e9couvre le rugby \u00e0 13 ans en scolaire dans l’\u00e9quipe minime des EMP<\/abbr> d’Aix en Provence. N’\u00e9tant pas fait pour \u00eatre militaire je quitte Aix en Provence et arrive \u00e0 Paris l’ann\u00e9e suivante en classe de troisi\u00e8me\u2026 J’int\u00e8gre le CASG mais dans la section athl\u00e9tisme\u2026 comme sprinter. Je courrais vite !\u2026<\/p>\n
Mais les hivers sont longs, et l’attrait du rugby \u00ab\u00a0toutes saisons\u00a0\u00bb est le plus fort. Je franchis le cap en Juniors et ensuite ce sera le sport universitaire, d’abord \u00e0 la fac de Sciences et ensuite \u00e0 Dentaire.<\/p>\n
J’entame une carri\u00e8re de pilier gauche, t\u00eate libre et cot\u00e9 ouvert\u2026 hein\u2026 Six ann\u00e9es au cours desquelles je croise les Bouteilly, Schwartz, Sonois et tant d’autres .<\/p>\n